Les Chevaliers du Kercorb
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 HISTORIQUE DU JEU

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Dieu Sono

Dieu Sono


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MessageSujet: HISTORIQUE DU JEU   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeSam 23 Aoû - 22:38

Par un temps au beau fixe, semblait-il, car l'horizon était bouché par une épaisse canopé, constituée par les nombreux ramages d'arbres, autant vénèrables que croulants sous les tonnes de moisissures les recouvrants...

... tout en bas, un chemin gluant des nombreux immondices que les caravanes laissaient derrière elles ;
le silence n'était point là car une bande de joyeux drilles (ils étaient quatre), avançaient gaiement et surement ; à les entendre l'image de jeunes aventuriers pleins aux as seraient naturelle, mais il n'en était rien, bien au contraire, torse nu ou celui-ci recouvert de ce qui aurait pu être une chemise, des chausses inexistantes, un reste de flanelle recouvrant leurs parties honteuses...

... D'où ils venaient ? On s'en moque éperduement, dailleurs le savaient-ils eux même ? Où allaient-ils ? Là aussi, question stupide, du moment où ils pouvaient trouver de quoi manger pour rien et trouver une paillasse (oui, une seule pour quatre, c'est moins cher) pas trops recouverte de cloportes, ils sauraient apprécier tout cela...

... Au détour d'un chemin, ils arrivèrent à la lisière du bois qui surplombait un vignoble et une ferme vetuste (déjà ? Oui, et alors ? Si l'introduction dure trop longtemps cela prendra des lustres... Il y a une fin à tout !)


En déscendant par le chemin de terre longeant les abords de la ferme (c'est pas parceque l'introduction est fini que le fait de romancer doit être annulé), les 4 semi-nudistes aperçurent au loin, à environ 2m50 d'eux un veillard dont ils pouvaient aisèment deviner la longue barbe blanche, bien qu'il était de dos...

... Celui-ci en se retournant balaya d'un seul coup les prêjugés de nos aventuriers et ceux des acros aux JDR qui veulent mordicus que tout vieux qui se respecte se doit de porter une longue barbe blanche... Ce dernier, rasé de pres, et du talc sur les joues, (pour les assouplir), les regarda d'un oeil sournois qui sentait la vinasse, tout jaune qu'il était (et rouge du pif) et qui les apostropha ainsi :

" Ô !! Nobles voyageurs (hypocrite !!), que vos beaux atours sont chatoyants à la vue, que j'aimerais les avoir pour aller voir du beau monde, (la c'est carrêment l'hôpital qui se moque de la charité)",
... Mais que son bluff eu ou n'eu pas du succés, toujours est-il que nos quatre aventuriers sentant trés certainement la monnaies sonnantes et trébuchantes, firent halte devant le vieu beau (il sentait le dernier parfum à l'eau de rose vendu par les elfes), comme quatre chiens affamés devant un bout d'os...
"Voulez-vous bien avoir pitié d'un homme en peine comme je le suis ? Un seigneur, dont j'ignore le nom, m'a volé un bâton... Hô !! une broutille, juste un souvenir sentimental, familial que je tiend depuis ma plus tendre enfance (il y a longtemps donc) et qui m'avait été offert par mon arrière grand-papa (sonne faux)...
... Ha !! j'oubliais !! Sur le bâton y est gravé PM en elfique dessus... Rapportez -le moi vite!!"

Les quatres aventuriers contents d'avoir quelque chose à faire, (ils en avaient un peu assez de gambader à moitié à poil dans les bois, sans savoir ou aller), acceptèrent, non sans ronchonner un petit peu sur la manière d'une quelconque rétribution... et si le vieillard ne pouvait pas leur verser un accompte pour les faux frais...

...Le vieillard dodelinat de la tête, se renfrognat mais due optempérer et leur versa à chacun quelques sous :

don de 30 po chacun
don de 2 pa chacun
don de 2 pc pour le groupe...


1ère quête : retrouver un bâton avec sur celui-ci : PM gravé en elfique


Fin de la première partie de l'historique (j'ai sommeil... excuse bidon ? oui et alors ?)

Mais avant de quitter le forum, voici un bref descriptif des 4 personnages... Ce descriptif sera complété demain après avoir "pondu" la suite des évênements :

Détritus : guerrier-roublard ; chaotique-bon ; demi-elfe.
Althfzir Stormwall : rodeur ; loyal-neutre ; humain.
Siomir Swift : ensorcelleur ; neutre-bon ; demi-elfe.
Nareck Hind :[color=red] roublard ; loyal-neutre ; halfelin.[/color]

(apparition des autres personnages plus tard).


Dernière édition par Dieu Sono le Mar 26 Aoû - 9:43, édité 1 fois
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Dieu Sono

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MessageSujet: Suite de l'historique   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeDim 24 Aoû - 18:29

Lorsque nos quatres aventuriers quittèrent leur interlocuteur, ils ne savaient point (c'est mieux que "pas") encore qu'ils allaient vers des embûchent dont ils se seraient bien passé...

... en se rendant vers la vallée de Dana ils découvrirent au fond de celle-ci une petite ville aux constructions post-modernes, mais, avec tout de même un centre historique aux maisonettes dignes d'un véritable JDR (autrement dit, de vieilles bicoques toutes croulantes dégageant un certain charme sous leurs crasses) ; tout naturellement c'est vers ce lieu que se dirigèrent nos aventuriers... en prenant la voie principale, ils purent flaner au milieu des stands et boutiques souvenirs, et tout en admirant les figurines en os ou en arêtes de poisson représentant des gnomes et des magiciens en tout genre, ils se raprochèrent d'un édifice immense : le palais bien sûr !! Un énorme palais avec tout ce qui fait un palais fortifié (qui plus est!), des douves, des meurtrières, et tout et tout...

... De part et d'autre du pont levis quatres gardes à l'air important (à cause de l'uniforme), se tenaient au garde à vous ; plus précisèment, deux trolls des cavernes et deux gnomes, et tinrent à peut pres ce langage à nos aventuriers :
"Halte !! On ne passe pas !! Seul les gardes, le personnel et les invités de marques ont l'autorisation"... En gros en langage comprehensible : "Vous n'avez pas la tenue exigée et n'ayant pas d'entrée VIP vous ne pouvez pas entrer".

Sur ce, nos aventuriers, s'en retournèrent en ville afin de récolter quelques menus informations sur la possibilité d' entrer, sans donner l'alerte, dans le palais...
Sur les quatre, trois décidèrent de se rendre à l'auberge la plus proche pour récolter des informations cruciales ; mais sur les trois, seulement un, n'avait pour objectif que celui-ci, alors que les deux autres ils n'étaient allé à l'auberge que pour se désalterer dans la joie et la bonne humeur, en bref de ne rien foutre pendant que les autres se coltineraient la mission...
Celui n'étant point rentrer dans l'auberge, n'étaient autre que l'ensorcelleur Siomir Swift qui assaya sans plus tarder à se dégoter une boutique de mage... Sur les trois se trouvant à l'auberge, celui se prenommant Détritus ne s'y rendit que pour veiller au grain, car sur les quatre, seul l'ensorcelleur et lui avaient le plus de points d'intelligence... (hu, hu, hu, hu, hu !!)...

Au grès de sa balade dans la ville, l'ensorcelleur se retrouva face à une boutique dont une fenêtre était fracassée par un long bâton qui semble t'il l'avait éventré jusque dans ses murs les plus reculés aux dires des cris et vociférations qui émanaient de l'arrière boutique ; aux crépitements et dégagements de fumée rougeatre qu'il vit, il comprit qu'il était tombé sur La boutique qu'il recherchait (de toute façon le MJ n'en avait pas imaginé d'autre).
En entrant il découvrit à l'autre bout du bâton un pauvre type écrabouillé (mais ne vous en faites pas pour lui : une potion, et il pourra de nouveau gambader), qui n'était autre que l'apprenti du marchand, qui dailleurs en plus d'avoir mal un peu partout, avait surtout mal à la tête à cause des remontrances de son maître (le pauvre, pourquoi?... parceque...).
L'ensorcelleur demanda l'eternelle question "Pouvez-vous me montrer ce que vous avez?" (question bizarre sans s'encquérir une seconde de la santé du pauvre type à terre... mais les JDR sont souvent cruels avec leurs questions prédéfinis)... Le patron de la boutique regarda quelques secondes l'ensorcelleur et devant son triste état, (rappel : il était presque à poil), lui clama :
"je n'ai rien à vous offrir, déjà que la moitié des gardes de ce maudit fief ne paient qu'à crédit, toute la ville en a marre... Sortez !!"
Mais notre ensorcelleur dont l'intelligence égalait avec son don de bluff, lui tendit les 2 pa en sa pocession et lui fit croire qu'il s'agissait d'une sacoche pleine de pièces d'or... Le jet de sauvegarde contre les sorts du marchand échoua lamentablement et celui-ci perdit du coup un parchemin d'invocation de corbeaux (valant 45 po) et le bâton qui avait éventré sa boutique (valant à lui tout seul 2500 po) ; l'ensorcelleur voulait le bâton en guise de souvenir, mais devant le prix exorbitant de celui-ci, il demanda au commerçant son utilité (autant le savoir)... Le marchand regarda d'un air haineux son apprenti et déclara : "Ce tas de vinasse doublé de fainéantise est la réponse à votre question... Mais faites attention, si vous n'en controlez pas sa force vous serez dépassé et il vous échappera avant de s'écraser sur le premier ivrogne ou fainéant du coin, et seuls les Dieux savent à quel point il y en a !"

Après avoir pris congé de la boutique, l'ensorcelleur partit rejoindre les trois autres à l'auberge, et les trouvèrent en conversation avec l'unique serveuse et pas moche du tout (comme d'hab'... )...
Alth' et Nareck avaient déjà dépensé chacun 1 pc pour une biere sans nom tellement infecte que même un charognard n'en aurait pas voulu (mais quand on est pauvre dans un JDR il faut pas faire la fine bouche), quand à Détritus il en avait dépensés 2 car il avait commadé une bière d'une qualité un peu supèrieure pour l'offrir à la serveuse (drague? non !! juste stratégie de comptoir)... Celle-ci mise en confiance leur apprit qu'elle n'était pas juste la simple serveuse de l'auberge mais qu'elle était une riche héritière qui avait été placé chez son oncle (le patron de l'auberge) le temps qu'elle atteigne sa majorité... mais sa majorité étant venu, elle n'avait pas pu rejoindre son beau pays car retenu en quelque sorte prisionnière par son oncle et ses sbires ; de plus elle avait envoyés de nombreux courriers à son fiancé qui ne lui avait rien répondu, hormis une lettre de rupture qu'elle n'avait jamais vu et qui était en pocession de son oncle...
... Devant son charme irrésistible et la vinasse plus que douteuse de leur chope qui leur avait tourné le ciboulot, Alth' et Nareck se proposèrent illico presto d'aider la belle...
... Siomir et Détritus se rangèrent de leur avis car après tout en attaquant les propriétaires de l'auberge ils pourraient ensuite faire une fouille minutieuse du bâtiment et ainsi récolter quelques indices.

1ere sous quête : fouttre une raclée au patron de l'auberge (6000 pts XP).

Mais ils ne pouvaient le faire en pleine journée et encore moins sans armes, car ils devraient faire face également aux sbires de l'aubergistes. Détritus, s'encquérit d'aller parler à l'aubergiste et lui dit ceci : "avez-vous des chambres ?" il lui demanda le prix de la chambre de paysan, une seule pour quatre et en commanda une, sans accompte, pour la nuit... Et si possible si la serveuse pouvait les accompagner...

Nos quatres aventuriers repartirent vers le palais dans l'espoir de trouver une faille dans sa protection ; sur le chemin les y menant, ils croisèrent une dizaines de gardes... Sautant sur l'occasion ils demandèrent à leur chef s'ils pouvaient les conduires au palais afin de voir leur seigneur... Ils firent un jet de bluf en faisant croire aux gardes qu'ils avaient été dépouillés dans les bois par des misèrables, mais qu'il fallait qu'ils se rendent au palais car ils avaient entendu dire que le seigneur des lieux aimait les troupes en tout genre et la douce musique... (Ce qui tombait bien car aux dires de je ne sais plus quel joueur, Nareck était un parfait menestrel à la voix melodieuse)... Le bluf marcha, et ils furent mené à l'entrée du palais...

Nareck fit mine d'être pris d'une irrésistible envie d'uriner, le chef des gardes donna l'ordre à deux gardes d'aller l'accompagner dans un endroit paisible loin des regards pour qu'il puisse se soulager, en longeant un mur, Narreck aperçut tout d'abord une poterne sans gardes au nord-ouest du palais et ensuite au nord-est un soupirail donnant accés aux égouts, sur-ce, il décida de bluffer les deux gardes en leur faisant croire qu'ils étaient suivis par deux serpents roses et qu'il allait s'en occuper à condition qu'il le fasse seul.
Les gardes acceptèrent de se détourner et de ne réagir que lorsque Nareck leur en donnerait l'ordre, à condition que ce dernier ne dise rien à leur retour auprès des autres gardes.

Nareck entra résolument dans les égouts et après avoir longtemps pataugé allègrement dans la fiante il se hissa vars un goulot d'évacuation, il le remonta sur 2 étage, (c'est un halfelin, donc suffisament petit), du côté nord-est, et aperçu au loin une clarté, mais comble de malchance, au moment ou il allait s'extirper du goulot un gargouillit terrifiant s'amplifia au dessus de sa tête, notre pauvre Nareck venait de déboucher dans le trône non officiel du seigneur (le trône à caca, ainsi nommé par le MJ), qui d'un geste leste,
digne d'un seigneur, venait de tirer la chasse d'eau, qui eut pour effet de renvoyer dans une longue cataracte d'eau crade notre halphelin plus profondément encore dans les égouts...

Il trouva au sud-ouest une echelle au dessus de laquelle se trouvait une trappe ; une fois en haut il découvrit une petite salle, mais se cacha sous un tas de linge sale losqu'il entendit des voix et des bruits de pas... Des servantes entrèrent dans le vestiaire, l'une d'elle, s'aperçut qu'un tas de linge n'était pas à sa place, elle s'en approcha et poussa un cris effroyable en y découvrant Nareck qui sur le coup n'eut d'autre idée que de faire un large sourire niais en éclatant de rire un peu jaune... l'émotion passée il réussit (encore ?!!!) à faire un gros coup de bluf en faisant croire qu'il était le plombier en inspection de la tuyauterie dans son ensemble du palais... mais qu'il ne savait pas ou il se trouvait exactement... La servante lui apprit qu'il était au rez de chaussé.

Nareck prit congé et se dirigea vers le nord du palais, il aperçu à droite la salle du trône ; comme il n'y avait personne, il y rentra et vit une autre petite salle dans laquelle se trouvait, dans un angle, une coupe en or et un bâton ; cette pièce était attenante à un couloir.
Revenant sur ses pas, il continua vers le nord et déboucha sur un vestibule arrondi qui comportait quatre statues faces contre mur ; il continua son cheminement jusqu'à un ensemble thermal sur la gauche et se rendit compte en s'y rendant (un brin de toilette ne ferait pas de mal) que l'ensemble était mixte, avant de prendre congé, il décida de récuperer 5 savonnettes et 1 serviette...et 19 po. Sur ce, il biffurqua sur la droite, dépassa un garde qui lui indiqua la sortie la plus proche : la poterne au nord-ouest sans gardes... En relevant la tête il se reçut une averse d'eau sale qui provenait d'une gargouille (le bain n'avait servi à rien)...
Il revint vers les gardes en leur faisant croire qu'il avait vaincu les serpents... En revenant vers l'entrée principale, Nareck remarqua deux petites crotes sur les bords d'une douve et pour on ne sait quelle raison il décida d'y faire de la fouille...
Bienheureux fut-il, car il y découvrit dans l'une d'elle une amulette, dont l'intérêt était de la mettre dans la bouche pour faire des jets d'acide... Apparement, l'utilisateur, (un nain vraissemblablement à cause de la taille des crotes), avait voulu s'en servir mais au lieu de souffler avait inspiré.


Suite plus tard !!
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Dieu Sono

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MessageSujet: Re: HISTORIQUE DU JEU   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeMer 3 Déc - 14:12

Nareck revenu parmis les siens, les gardes les introduisirent dans le palais, juste après le passage du pont-levsi ils se retrouvèrent dans une salle immense, soutenue par un pilier central se terminant en son hauteur par une série de voutes en ogive donnant à l'ensemble une impression de légéreté malgrès la masse évidente du corps du bâtiment, au bas du pilier jaillissait un jet d'eau se deversant dans un vasque circulaire.
De par et d'autre, contiguë au mur de façade, deux grandes portes fermée, non gardées en apparence, face à la grande porte d'entrée, la salle se rétrécissait en forme d'entonoir et s'ouvrait sur un passage dont les portes grandes ouvertes laissaient voir un large coridor dont l'extrémité se terminait par des marches...

Nos héros s'y dirigèrent flanqué sur tout les côtés par 6 gardes, le commandant devant, un de ses hommes fermant la marche et deux sur chaque côté

( ce texte n'est pas terminé, j'ai du interrompre le récit car j'ai une réunion importante autour de quelques verres avec d'autres médiévistes qui vient de se décider à l'instant, dès que je reviens j'édite ce post pour le continuer)
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Adelard l Errant

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MessageSujet: Re: HISTORIQUE DU JEU   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeSam 24 Jan - 12:53

tu es resté coincé dans ton verre !!! lol!
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Arthaut Blanc Corbeau




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MessageSujet: Re: HISTORIQUE DU JEU   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeDim 25 Jan - 23:27

Un de ces quatre faudra ptetre la finir cette foutue quête...

J'aimerai bien savoir ce qui va se passer entre althyzir (oui ça s'écrit comme ça Sylvain) et la serveuse et surtout je voudrais plus de détails en ce qui concerne la relation ardente entre Detritus et le mage... Shocked
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Dieu Sono

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MessageSujet: Re: HISTORIQUE DU JEU   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeDim 25 Jan - 23:56

Quoi ?????????????????????????????????????,,, Quoi une relation entre le mage et moi ? t'as fumé quoi ?



"mode boudage"
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Arthaut Blanc Corbeau




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MessageSujet: Re: HISTORIQUE DU JEU   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeLun 26 Jan - 20:11

Bah rien mais les rumeurs vont vite à la cour du roi... Maintenant apparemment c entre le nain et l'autre roublard!! Va falloir surveiller ça....
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Dieu Sono

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MessageSujet: Bluff ultime : comment faire croire en étant à moitié nu, d’être de grands conteurs et ménestrels ?   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeLun 25 Jan - 23:33

Bluff ultime : comment faire croire en étant à moitié nu, d’être de grands conteurs et ménestrels ?


Nos quatre aventuriers, escortés par les gardes, gravirent un escalier en colimaçon aux pierres disjointes, dont les pierres des murs étaient percées par intervalles réguliers de meurtrières, laissant comprendre qu’ils se trouvaient dans l’une des tourelles est du château.
Celui-ci ne menait qu’au premier étage, le palier étant fermé par une porte étroite donnant sur une salle aux dimensions généreuses, faisant certainement office d’anti-chambre. A l’autre bout de la salle, campé sur ses deux jambes aux jarrets puissants, un géant des collines faisait barrage à une porte.
Les gardes firent halte au centre, se placèrent en haie, invitant la petite troupe à se présenter face à l’entrée d’une petite salle de réception sur leur gauche d’où s’échapper un doux fumer qui laissa échapper d’étrange grognement des estomacs de nos héros.
Le chef des gardes s’y engouffra en premier et les y annonça :


« Seigneur, quatre jeunes gens de contrés lointaines, désirent se présenter à vous, afin de vous offrir leur service en tant que conteurs et vous faire profiter de la douce mélopée dépaysante que prodigue les chants de leur ménestrel ».
Si Athzir Stormvall et Nareck Hind prirent une mine réjouit qui sied aux pauvres d’esprit, il en fut tout autre de la part de Siomir Swift et de Détritus qui se demandèrent à quelles sortes d’ennuis ils allaient encore faire face.
Tout quatre essayèrent de prendre des mines distinguées d’artistes pointilleux et sûr de leur art, en allongeant considérablement leur pas tout en grâce et façon chaloupés, prenant des poses excentriques censées faire oublier leurs vêtements inexistants.
Détritus, soudainement inspiré par une pensée providentielle plus que par lâcheté, se mit un peu sur le côté en prenant soin de dévoiler la présence de Siomir Swift ; tactique bénéfique, un ensorcelleur étant mieux qu’un rodeur…

… Siomir S. qui ne dit mot, mais qui devait râler sur la lâcheté passagère de Détritus, n’eut d’autre choix que de s’incliner en prenant la parole, car manifestement il ne pouvait compter sur les deux autres qui étaient subjugués par l’abondance de nourriture, qu’ils croquaient avec un regard au bord de l’indécence.


(Note de l’auteur : pour le dialogue qui suit et pour le reste, peut être que le romancier c’est un peu laissé emporter par des ajouts plus stylés que sur le moment du jeu… Et puis, y a rien à dire, le MJ a toujours raison ! ! ! !).

« Ô, Seigneur, nous artistes misérables, ne vivons que par et pour votre digne et pure naissance, car d’aussi loin que nous venons, nous avons toujours été bercés dès notre plus tendre enfance par vos exploits. Nous vous veinerons tant, que pour nous le seul fait de prononcer votre nom sans en être invité, est l’équivalent d’un blasphème, sauf s’il est prononcé par votre auguste personne ; aussi nous avons pris la route pour vous rencontrer guidé par les chants des oiseaux rares qui nous indiquaient le chemin à prendre, afin d’avoir la chance que vous nous fassiez grâce de nous prendre à votre service et d’avoir le privilège d’entendre votre voix prononcer votre propre nom ».

Le maître des lieux, au regard creux et à la panse pleine, ne devait pas être habitué à de tels éloges, aussi il laissa échapper une courte larme qu’il rattrapa d’un coup de langue (son ragoût ne devait pas être assez salé), et tomba pile dans le panneau en se nommant lui-même :

« Chers voyageurs, vous n’êtes point misérables car vous ne l’êtes pas d’esprit, (Note de l’auteur : ce perso’ est bête mais il n’en est pas moins dénué d’un certain savoir-vivre), aussi je vous fais la grâce de subvenir à vos demandes, puisque à vos dires mon nom est si doux à vos oreilles :
Moi, Gontran de Teogal, fait le serment que vous serez dorénavant mes conteurs attitrés ; et pour se faire vous pourrez employer mon nom autant de fois que vous le désirerez, (ce qui ne tomba pas dans l’oreille d’un sourd).
Et comme vous me semblez d’honnêtes gens, je vous donne de quoi vous vêtir décemment ainsi que des armes… Mais avant tout ceci, j’aimerai entendre le chant mélodieux de votre ménestrel. »

Nareck s’exécuta et entonna un chant à faire pâlir un putois, mais qui sembla ravir Gontran de Teogal et ses convives qui s’extasiaient volontiers devant tout ce qui leur semblait de prés ou de loin exotique.
Gontran de Teogal respecta ses dires et fit amener sur-le-champ, pour chacun :

- une armure en cuir clouté
- un casque
- des chausses en maille
- une épée
- un arc
Il leur assura également qu’ils recevraient leur première solde dès le lendemain
Car une réception serait donnée en leur honneur.

Détritus sourcilla quelque peu en recevant son arc, alors que les autres les reçurent avec moult enthousiasme ; et pourtant, pourquoi donc Détritus n’était pas satisfait ? Recevoir un arc lui fit le même effett que d’être invité à prendre un verre et de ne recevoir qu’un verre vide… En effet, que faire d’un arc sans flèches ?


Sur le chemin de retour vers l’auberge, la tête haute, les cheveux au vent, et l’impression de marcher au ralenti, entourés des regards ahuris et d’un bâillement d’un chien, nos quatre aventuriers rassemblèrent un peu leurs idées sur comment organiser la raclée à infliger à l’aubergiste…



A SUIVRE :
- LA BATAILLE RANGEE DU COULOIR
- LA CAVE, LE BÂTON, LE TONNEAU ET LES SAUCISSONS
- COMMENT PASSER D’UNE RECEPTION AUX EGOÛTS ?
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MessageSujet: Re: HISTORIQUE DU JEU   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeMar 26 Jan - 23:14

heu ? Milles excsues... je suis amplement confus, on frère ainée vient de me faire remarquer qu'un film doublement interressant sur les templiers est diffusé ;

ma première remarque a été de lui dire que j'étais occupé à quelque chose de plus interressant (la mise au propre sur word de l'écrit "la bataille rangée du couloir" que j'ai rédigé cet aprem à l'école), et que le film devait être une grosse daube (dès qu'il y a templier il y a un gros risque que cela soit le cas), mais j'ai douté... alors je vais le voir ; demain vous aurez trois épisodes d'un coup, ceux énoncés dans l'article précédent.

Je vous remercie de votre comprehension.

Votre obligé (mouais)...
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MessageSujet: La bataille rangée du couloir   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeMer 27 Jan - 20:53

LA BATAILLE RANGEE DU COULOIR


Lorsqu’ils atteignirent l’auberge, le soir commençait à se faire sentir, les lueurs sanguines du couchant se mélangeant à une fine brume bleutée rampant sur le sol et envahissant la campagne environnante.
La porte principale donnant sur le réfectoire paraissait fermée. Ils contournèrent l’auberge et entrèrent par une porte dérobée. Personne, aucun bruit ; contraste étonnant avec le flux des passants quelques rues plus hautes, et d’autant plus étonnant pour la seule auberge d’une ville.


(Note très longue de l’auteur : là encore pour répondre avec le plus d’exactitude possible avec les jdr sur PC ou pas, la règle est : pas plus d’une auberge par lieu, même s’il s’agit d’une mégalopole, on peut d’ailleurs constater fréquemment que le nombre de loueur de chambre buvant au rez-de-chaussée, est toujours plus grand que le nombre de chambre à l’étage, alors qu’il n’y a qu’un seul lit une place par chambre… à moins que les concepteurs de jeux de rôle aient rentré une donnée très importante, celle des maris cocus… petit calcul vite fait, en moyenne dans la taverne il y a une ou deux femmes pour six ou huit hommes, dont un nain et un elfe, en sachant que ces derniers n’ont jamais femme dans le jeu, donc on peut en conclure que les placards non ouvrables servent à cacher un ou deux amants par femme.).

Alth qui jusque là paraissait quelque peu taciturne, eut soudain comme une lueur dans les yeux, il prit une profonde respiration qui sied aux plus fins stratèges et déclara avec une voix résonnant l’importance cruciale :« J’ai faim ! ! Et si nous allions nous taper la cloche en cuisine ? Dans le réfectoire il n’y a rien qui puisse satisfaire mon… nos estomacs… Peut être qu’en cuisine je … nous devrions trouver notre bonheur. Et puis il n’y a personne autant faire des provisions et nous installer confortablement ».
La proposition fut approuvée… Même par Siomir.
Nos amis furent heureux de constater qu’aucun des placards n’étaient cadenassés. Ils trouvèrent de la vaisselle, puis de la vaisselle, encore de la vaisselle, toujours de la vaisselle, pour tous les goûts, propre ou sale, neuve ou ébréchée…


(Détritus qui ne l’oublions pas est commandé par un joueur pas comme les autres, puisqu’il s’agit de l’auteur et donc du MJ, bref, je crus bon de montrer aux autres joueurs comment procéder).

« Rhaaaaaaaaaaaaaaa ! ! ! ! Vous ne savez pas y faire, vous fouillez des placards qui sont trop bas pour contenir de la nourriture, regardez, comme celui-ci par exemple, si je l’ouvre… »
Détritus ouvrit un placard du haut ; pas de vaisselle… Mais pas d’aliments pour autant.

(Note de l’auteur : oublie involontaire de mettre des choses dans les placards et pourtant il me semblait avoir ajouté quelque chose, mais impossibilité de trouver mes notes correspondant aux placards de la cuisine).

Alth inspiré certainement, ou tenaillé par la faim, ouvrit le dernier placard du haut et poussa un cri de joie :
« Je vois quelque chose ! ! ! ! ! » ;
il plongea ses bras à l’intérieur et ramassa avec des mains tremblantes, par l’émotion et la satisfaction d’avoir trouvé quelque chose, un morceau de pain pourri.
Nareck, devant la mine dépitée d’Alth’, eu la gentillesse de lui faire remarquer que cela était toujours ça de gagné.

Alth’, (note de l’auteur : il arrive qu’il y ait interférences de sentiments et de goûts entre le personnage et le joueur), certainement en train de rêver de saucissons, grommela un peu se demandant comment il pourrait se battre, s’il y avait lieu, le ventre vide.
Siomir pensif rompit le silence grognon du groupe :


« Et si on fouillait les chambres ? Déjà celle que l’on a commandé. Peut être y aura t’il des objets, des aliments, ou des indices concernant Gontran de Teogal ; voire très certainement des indices précieux concernant la nièce de l’aubergiste. Après tout si nous sommes revenus en cette auberge, c’est parce que nous lui avons promis assistance ».

Devant des paroles aussi sages, tous se rangèrent de cet avis et revinrent dans le réfectoire afin de prendre l’escalier menant à l’étage. Celui-ci se composait d’un long couloir, dont le fond s’ouvrait sur le second escalier menant au cellier. Huit chambres l’encadraient, dont trois étaient ouvertes, la troisième chambre à leur droite, ouverte, était celle qu’ils avaient louée, avant qu’ils puissent inspecter un peu plus les lieux, des craquements se firent entendre.
Ils venaient des deux extrémités du couloir ; plusieurs personnes montaient lentement les escaliers. L’idée d’un traquenard étant évidente, certainement dirigé par l’aubergiste lui-même intrigué par les voyageurs, en apparence miséreux mais qui s’offraient le luxe d’une chambre ; cela avait du allécher ses babines de brute épaisse. Aussi, ne mirent ils pas de temps à trouver une manière efficace de se défendre ; ils sortirent de leur chambre et se postèrent au centre du couloir, deux par deux.
Siomir se posta derrière Détritus, pour défendre l’escalier côté cellier, tandis que Nareck et Alth’, protégeaient l’accès au réfectoire.


Les attaquants ne tardèrent pas à se montrer, du côté du cellier, quatre hommes firent leur apparition, alors que de l’autre escalier surgirent, un troll hideux, (un troll n’est pas forcément hideux, si l’on pense comme un troll, mais celui-là était vraiment spécial, il avait dû se faire mercenaire par dépit d’être rejeté par son clan), et trois hommes.

Lecteurs, vous qui n’y étiez pas au moment des faits ! ! Vous auriez vu cela, de vrais mercenaires, sapés comme des mercenaires, avec des multitudes de fioritures, dont eux-mêmes ne connaissent l’utilité, car il n’y en a pas, mais qui donne du « style », même si c’est ridicule, mais du « style » quand même, le chaperon à l’envers (pas très utile pour y voir) et des chaînes rouillées et polis pour faire croire à de l’or, et parlant un langage incompréhensible, que même un troll ne saurait inventer.

La bataille fit rage, épique ; il n’y a rien de plus beau de voir l’énergie d’une troupe de voyageurs saints d’esprits se battre avec force rage et passion face à des tas de chiffe-molles qui se croient au-dessus de tout… Chiffe-molles ou pas, Détritus tenta de bluffer avec son arc sans flèches, le bluff échoua et se transforma en véritable flèche qui lui transperça l’épaule.


(Note de l’auteur : je tiens à préciser une nouvelle fois, qu’être joueur et MJ à la fois est possible, la preuve ; jouant en tant que personnage contre un « méchant » je perds, jouant en tant que MJ contrôlant le « méchant » je gagne contre mon personnage… Et cela c’est révélé exact tout au long du jeu… enfin c’est pas de chance quand même… double snif ! !).

« rhaaaaaaaaaaaa ! ! ! Maaaaaaaaaaaaaaage ! ! ! A moi ! ! ! Siomir fait quelque chose », cria Détritus l’épaule droite en sang.
Siomir très prévenant lança un sort de givre ; une sphère bleue sortie de ses mains qu’il pétrit un temps, fit un mouvement de mains vers l’avant qui sembla lent, ce qui eu pour effet, d’ouvrir la sphère d’où s »échappa une nuée de pic de glace acérée… Ceux-ci flottèrent un instant entre sol et plafond avant de s’écraser sur le plancher, comme une cataracte se brisant sur le roc, une onde se répercuta contre les murs, des craquements d’eau gelée résonnèrent et…


…(Retransmission du commentateur MJ « On ») hooooooooooo ! ! ! la, la, la , laaaaaaaaaaaaaaaa ! ! ! ! Quelle répartie ! ! !
Et alors que Siomir gèle la surface du sol, les « mercenaires de l’auberge » contre-attaquent en posant courageusement leur bottes cirées sur la glace, et nous présentent une pirouette arrière de leur cru, avec grand écart sur le sol…. La douleur a dû être intense mais quelle beauté dans le geste, mes amis…
…Mais ? … Mais ?… Mais oui ! ! Je ne me trompe pas, Siomir a un problème, alors qu’il était en train de vouloir faire un contre- sort, il s’est emmêlé les pinceaux… he ! ! oui c’est le cas de le dire, il n’arrive pas à restreindre le sort de givre, tout le couloir est gelé, tout gelé, nous voyons à présent nos deux équipes, « les semi-nudistes » et « les mercenaires de l’auberge » nous exécuter un patinage digne des plus grands avec de toutes nouvelles chorégraphies, invraisemblables… on se demande même comment ils y arrivent…
Et … ha ! ! Nouveauté dans le patinage, nos équipes entonnent des chants guerriers… à moins que… ha, non, pardon, je me trompe, je crois que Détritus, veut communiquer avec Siomir qui sue à grosse goutte… que dit-il ?…
ha,ha,ha ! ! Je crois qu’il lui demande si c’était utile de mettre toute la sauce pour le sort… j’aurais presque envie de lui répondre, vaut mieux être prévoyant que de ne rien faire… ha….
Ha… petite stagnation des deux côtés, je sens qu’il va y avoir de l’action, les équipes se relèvent, employant divers stratagèmes… Détritus a sorti sa dague et s’en sert comme d’un pic à glace en tentant de piquer un des murs, mais… que vois-je ?
Mais oui ! ! ! ha ! ! Belle action de notre ami Alth’ qui évite une hache lancée avec ferveur du geste par un des mercenaires… ha ! ! Quelle action, quel saut, il rattrape la hache et la revoit tel un boomerang… direct dans la tête de l’émetteur, figeant fer de hache et tête dans le mur, mais ou est donc passé le manche ?…
Attendez, on me signale une information sur le manche manquant… oui, oui, j’ai la confirmation, mais oui ! ! c’est bien sûr le manche en se détachant a imprimé une auto réaction inverse au sens directionnel du fer de hache, et est allé percuter la dague/pic à glace de notre cher Détritus, et qui l’a propulsé (la dague, pas Détritus, lui il est retombé au sol sur son épaule blessée) direct dans la nuque d’un adversaire…

C’est donc l’équipe des « semi-nudiste » qui est en tête, avec 2 à zéro, mais tiendront-il le jeu ? Nareck tente un coup fatal contre le troll qui le regarde bizarrement, il échoue, ce qui a pour don de chatouiller les nerfs caractériels de notre troll…. (Retransmission du commentateur MJ « Off »).

« Siomir ! ! ! ! ! ! ! ! ! Qu’est-ce que tu fous ? tu ne vas pas quand même laisser tomber ton vieil ami Nareck, … le troll vient vers moi, fait quelque chose…
- ben je fais ce que je peux…
- inverse les manettes (beugle Alth’) tu vois pas qu’on gèle ? Eux ils s’en moquent, à part celui qui fait de l’équilibre sur les marches, t’as pas un autre sort ?

Siomir fouille dans sa besace, ne se préoccupant pas si Détritus va bien, de toute façon le sang répandu de leur côté, forme avec la glace une couche gluante, impossible pour leur adversaire d’avancer rapidement, tant qu’à faire, tenter d’aider, ceux qui en ont besoin. Siomir se tourne enfin du côté d’Alth et Nareck avec une mine réjouie :
«Ca y est ! ! ! Je l’ai ! ! Je tente un sort de pluie de feu ! ! »
Comme à son habitude, Siomir vrais bête de combat quand il s’agit de sort, fait bien son alchimie, mais ne sait pas trouver la demi-mesure…
Une lumière intense apparut dans une grande déflagration et fonça droit vers le troll et le grilla sur place, émettant des petits sons, qui n’étaient pas sans rappeler, les feux de camps pépères lors des soirées conviviales entre amis….Par contre l’odeur… Insoutenable, du à la peau élastique de la chose grillée… Mais qui n’a pas que des inconvénients, car, si l’odeur en était insupportable, elle permit de napper nos « semi-nudiste » d’un épais brouillard, les rendants ainsi invisibles, les courant d’air provenant des deux cages d’escaliers concentrant la fumée au centre du couloir…
Malgré le fait que leurs adversaires échappaient à cet effet d’invisibilité, comme dans chaque groupe, les membres ne sont pas tous reconnaissants, une voix ressemblant à celle de Nareck s’éleva :

« C’est pas possible, on demandait juste à ne pas geler, mais pas à griller étouffé en retour ! ! ! ».
Chacun, armés de leur épée, purent aisément venir à bout des six autres mercenaires.

Après toute dissipation de fumée, ils purent enfin procéder à la fouille des cadavres ;

Nareck récupéra :
- le fer de hache et le manche qu’il prit soin de reconstituer
- deux épées longues, de mauvaises factures
- deux armures de cuirs
- deux paires de bottes
- un bracelet de puissance
- une cape de protection

Alth’ récupéra :
- une épée longue
- une armure de cuir
- un casque fêlé
- une paire de botte

Siomir récupéra :
- deux épées longues
- deux armures de cuir
- un casque intact
- une paire de botte
- 40 po

Détritus récupéra :
- une épée longue
- une armure de cuir
- un casque intact
- une paire de botte
- un anneau gravé

Etant revigoré par autant de trouvaille ils s’enchérirent de continuer par leur besogne interrompue : la fouille de l’étage ; ils se répartirent les chambres, deux chacun, la dernière verrouillée, réservée aux soins d’Alth’…
Des cris de joies fusèrent dans chaque chambre, en effet il y avait de quoi se réjouir ;

Alth’ dégota : un anneau magique fournissant une acuité visuelle au porteur, et 10 po après avoir trucidé le matelas qui l’hébergeait.
Nareck rien et Siomir non plus, mais ils n’en étaient pas mécontents, leur fouille sur les mercenaires ayant été fructueux.
Détritus, tomba sur la chambre d’un nain ayant trépassé ; il y trouva, (directement sur le nain), un caleçon de nain (forcément), au sol, une paire de bottines avec bouts ferrés, et dans une bottine 40 po… Qu’il prit soin de distribuer en part égale, lui ! ! ! !

Ils se retrouvèrent tous quatre devant la chambre n’ayant pas encore été fouillé ; Nareck enfonça sans problème la porte. Ils y découvrirent la nièce de l’aubergiste ligoté qui leur apprit que son oncle s’était réfugié à la cave, attendant que ses hommes de mains lui annonce leur mort.
Alth’ avisant un coffre, fit un sort de déverrouillage, et en sortit :
- une cape déchirée de couleur rouge à deux lettres d’or, l’une en partie effacée et l’autre étant un « P »
- Une lettre de rupture signée du nom du fiancé de la jeune femme.

Elle leur dit que cette lettre lui avait été présentée par son oncle, mais qu’elle avait tout de suite vu qu’il s’agissait d’une fausse… Ayant demandé à son oncle de la montrer à un notable de la ville (décédé depuis) de confirmer qu’elle était fausse, elle ne l’avait jamais revu.


Nouvelle Quête : retrouver le fiancé de la serveuse et les mettre tous deux en sécurité (+2200XP).
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Dieu Sono

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MessageSujet: Re: HISTORIQUE DU JEU   HISTORIQUE DU JEU Icon_minitimeDim 25 Sep - 23:04

Interlude avant la suite (enfin) que je posterai au cours de la semaine arrivant à grand pas ; petites "ôdes" qui vous montreront que les histoires débiles chez moi, ne datent pas d'hier, voici rien que pour vous :

RIEN QUE POUR LES ÔDES (idioties écrites certainement en 1998 ou tout juste à l'an 2000)

Ô Trés Chers diparus,

Que...e vous nous manquez déjà,
Vos pleurs et vos joies
N'étaient que pure v..vv... vie en nos murs.

Vous qui manquez déjà,
A nos filles de joies
non ?.. Oui ?
Qui vous harcelez du haut de nos murs.

Vo..oo... ous qui immonde la soirée carotte
De ce soir dans le broyer jeu de l'oie
Qui n'aura l'honneur de voir vos âmes si pures.



.......................................


« A nous les warriors »

Nous qui sommes les derniers,
Ne bafouons pas la mémoire de nos morts ;
Nous qui pour quelques deniers,
Ne serions enclins à passer les armes à babord ;

Nous qui guerroyons sans failles,
Ne faiblissons pas face aux zinzins ;
Nous qui aimons les batailles...


..........................................


Ôde à un ange...

Ôde à ce celle qui,
Le jour se decarcassait,
Pour amoindrir les peines.
Ôde à celle qui,
La nuit révetait son habit d'ange,
Pour penser les blessures

Elle dont le dévouement sans faille,
N'avait d'égale que sa beauté...
Elle est partie,
Mais son âme subsite
Répandant son doux parfum.



.................................


je ne me souviens pas pour quelles occasions, mais certainement au lycée... en classe... en math'... oui je suis un mécréant !!... mais juste en math', hein !! pas dans d'autre matière et surtout pas en philo'...


Et pour vous faire vraiment plaisir, un truc écrit en 2008 sur le jeu Hordes (jeu en ligne), où mon personnage (un croque-mort un peu naïf et aimant le disco') organisait des soirées fêtes avec lots à gagner :


La petite fête aura lieu, avec moult joies et fébrilité de l’assistance en liesse :

CE SOIR A PARTIR DE 21H JUSQUE TARD DANS LA NUIT !!!!

Lieux : -

la grande place, au centre de nos tentes ; GRANDE NOUVEAUTE : pour la première fois, nous cherchons hôtes pour accueillir le coin buvette et la sono (dans les autres villes on avait à disposition les superbes baraques des bannis….)…

Et au centre, suspendu haut dans le ciel : la SBF (sainte boule à facette), et dessous ? Eclairé des milles feux de la SBF ? petipimouss !!! Qui nous entonnera ce qui a fait la légende de Gloria.

Après l'attaque de minuit : annonce des résultats de la tombola,...non truqués ; et adoptez le dicton de la maison : « Faites confiance au hasard, car vous le valez bien ».


Les lots :

Commençons par le commencement, ceux n’ayant jamais trouvé acquéreurs lors des précédentes villes, et qui font un peu partie de la légende qui m’entoure, un peu comme la Sainte Boule à Facette (ceux qui sont déjà adepte de cette loterie se rendrons compte que la totalité des lots de la dernière fois n’ont pas été distribués :

- 1er lot : un beau sarcophage en chêne lustré, aux poignés de bronze et à la plaque d’adieu plaqué or (bon faut pas pousser non plus le luxe, on est dans hordes… ) ; l’intérieur est capitonné avec amour, recousu à la main, couleur pastel entre l’orange et le vert (on va faire passer ça sur le compte de la réflectivité de la lumière, selon ou l’on met la tête, bon et puis quand on est mort, bof, on s’en fout un peu), un petit coussinet qui crisse un peu sous la main car rembourré d’un savant mélange de rognures d’ongles et de poils… pardon de cheveux.

Mais le plus intéressant est dans la conception de l’ouvrage même, nous y avons prévu dans notre grand professionnalisme qu’est notre maison des pompes funèbres et Cie d’inclure une poigné intérieure au défunt si l’envie lui prend de prendre l’air ou de se taper un bon resto avec sa famille (lui ou elle devant la table, sa famille en morceaux dans l’assiette), à cet effet est astucieusement ajouté dans la doublure du capitonnage, un mode d’emploi si l’ouverture coince un peu et un petit livret de cuisine.
Mais ne vous y trompez pas, loin de nous l’idée de favoriser les défunts convertis au zombisme, noooon ! ! La famille non désireuse de supporter encore une fois les radotages de leur cher disparu (c’est d’ailleurs pour ça qu’il a été éliminé), auront à leur disposition, une capsule aux contours futuriste savamment intégrés sur le devant, contenant de l’eau qui se libérera en imprimant une légère pression digitale… et comme plus on est de fous plus on rit, si pépé ou mémé et la famille peut s’amuser autour de notre sarcophage attractif, pourquoi ne pas en faire profiter aussi les plus jeunes ? à cet effet, un tube se terminant par une seringue fait partie aussi du lot, ils s’insèrent à la place de la capsule et permettent aux charmants bambins de donner un peu de vitalité aux muscles atrophiés de leur ancêtre en leur balançant des petits jets d’eau.

- 2ème lot : 1 cercueil de luxe, mélangeant 3 essences semi-précieuses, à l’intérieur sobre mais chic alliant la douceur d’un reste de flanelle sur le fond rompant avec la rudesse travailler de cette noble matière qu’est le bois…
-
- 3ème lot : 3 asticots dans du formol, pour vous sentir moins seul les jours de déprimes, et méditer sur votre consistance future et réaliser que finalement l’écart est mince entre un humain et un asticot…

- 4ème lot : un paquet de petits bouts de latex qui une fois dépliés peuvent servir de bombes à eau si précieuse pour notre survie, sur un morceau de l’emballage on y voit encore inscrit « NF » ; personne n’en connaît la signification… mâché ça peut donner l’impression de supprimer la faim aussi…

- 5ème lot : une sucette méga énorme… mais périmée, bon, vous me direz : « y a pas d’utilité », et moi je vous répondrais : « si, bien sûr que si, dans notre monde de bric et de broc, enlevons donc la sucrerie du bâton et offrons le à un borgne, bon s’il a une sale haleine, au mieux il sera apprécié pour l’odeur de son unique œil (car la moitié de la tête est partie), et le bâton ? ben il peut servir à éborgner un zonzon, comme on dit : « œil pour œil, dent pour dent » (d’ailleurs les sucreries sont mauvaises pour les dents)

- 6ème lot : un morceau de béton d’ou dépasse un bout de ferraille provenant de l’infirmerie, avec une inscription : « j’y étais » et en dessous « made in taïwan ».

Les autres lots :

un couvercle bizarre, blanc (ou qui l’était) évidé en son centre, et des tâches marron et jaunes brunâtres sur les bords, ça peut faire bien dans son chez soi, un peu d’art abstrait ne fait pas de mal ;

Une mandarine dont il ne reste que la peau, pouvant servir de diffuseur si placé dans une bouilloire (celle-ci n’étant pas dans les lots).

Un parchemin griffonné : Au Nutella, tu convertiras.

Un lot de superbes cordes pas trop pourries et prêtent à l’emplois avec l’inscription : si tu aimes t’amuser alors ce jeu est pour toi : les règles sont simples : Opte pour la boulet attitude et tu auras l’honneur de te balancer seul au bout de cette superbe corde faites pour toi ! ! Mais attention si tu n’es pas qualifié, tu seras envoyé à la boulet Académy. (récupéré lors de la dernière ville, Jesse Jane refusant de s’en servir, je me demande bien pourquoi, un si beau lot).

Un lot de parfums : un à la violette, l’autre à la rose de Bulgarie.

Un coffret de film collector dont il ne reste qu’un DVD sur 4, sur une Histoire vécue, mêlant sensibilité et subtilité : Rocky IV.

Un sachet plastique avec une poudre blanche dedans… peut être du talc pour assouplir la peau ? Nous n’avons pas vérifié, nous en laissons le soin à l’heureux gagnant.

Une coupe sculptée dans le crâne d’un chat, avec en fond : « c’était mon seul ami ».

A gagner en vrac :

5 gris-gris en belles rognures d’ongles,
1 ticket resto datant de 1970 (pour les collectionneurs),
Une belle peau de bête tatouée,
Une superbe à cheveux pas trop sale,
Un très beau livre de connaissance : Mémento Cours moyen,
Un bouquet de rose dont il ne reste que les tiges,
Un coffret huile de massage,
Un bout de bois affûté dont le bout est recouvert de sang coagulé et inscription : « warrior tu es, warrior toujours »,
Une chaussette en excellent état, ça c’est bien pour le mettre face à la cheminée,
40 bracelets verts fluo, qui une fois mis dans de la glace (non fournie) s’éclairent… (pour info : 80 bracelets seront jetés lors de la soirée dans la foule endiablée, ils seront couleur orange fluo),
4 sifflets (très utile pour rameuter les amis, mais attention, pas toujours),
Un téléphone portable, dans hordes ça ne sert à rien, mais avec pile ça peut remplacer le manche vibrant avec de la musique en prime (pour l’occasion on l’a programmé sur Gloria),
Une râpe à fromage.
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